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15/07/2006

UN CARREFOUR DE CIVILISATION

SAINT LAURENT DU VAR, UN SITE PARTICULIER 

Le Var a constitué de tout temps une frontière naturelle qui s'opposa à la pénétration humaine. Les premiers vestiges mé­galithiques, témoins d'une civilisation où l'homme apprenait l'agri­culture, voici quelques 5000 ans, se regroupent à l'ouest du Var.

De même, lorsque les spécialistes de la protohistoire recen­sent le., tombes à incinération de la fin de l'âge du Bronze, ils constatent qu'elles sont limitées à la rive droite du fleuve.

Qu'il s’agisse des curieuses bories, ces sortes d'igloos en pierre, ou des traces d'influence celte, comme les décorations en forme de têtes sculptées, là encore tout s'arrête sur les bords du Var.

Plus tard, lorsque l'homme commencera à écrire son histoire, la limite de la Transalpine et de la Cisalpine sera fixée au « Va­rum flumen ».

 L'Empire romain arrêtera l'Italie sur le bord du fleuve, la Narbonnaise débutant au-delà.

Au Moyen-Age, la Provence se séparera du Comté de Ni­ce, un demi-millénaire entrecoupé de courts changements, impo­sera la frontière du Var.

Saint Laurent, carrefour placé sur la côte à l'embouchure du fleuve, va jouer des siècles durant un rôle capital qui s'impose à la mémoire des hommes.

Ce survol historique n'a aucune prétention exhaustive, il s'agit d'une série de clichés pris à des époques successives, re­liés par une toile de fond: Saint Laurent du Var et son site.

EDMOND ROSSI SIGNERA SES DERNIERS OUVRAGES RELATIFS A L'HISTOIRE DE LA REGION :

SAMEDI 22  JUILLET A LA " JOURNEE DE LA LITTERATURE " DE SAINT MARTIN VESUBIE.

 

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