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22/01/2009

ANTOINE CASTILLON : CARRIÈRE D'UN INSTITUTEUR (1819-1881) 2ème PARTIE

09 SAINT LAURENT ET LE PONT DU VAR EN 1830.jpg

LA FAMILLE CASTILLON AU XVIIIème SIECLE :

L'administration de la communauté est aux mains d'une quarantaine de familles, les principaux possesseurs de la terre. Elles donneront le notaire, le chirurgien, le négociant, l'artisan sous l'ancien régime.

La famille CASTILLON appartient à la bourgeoisie villageoise. Elle se révèle lettrée dès 1719 où un Honoré CASTILLON signe son nom conjointement avec les notabilités du village. Son fils, Vincent, boulanger, marié dans le pays en 1733, sait écrire lui aussi; il appose sa signature sur son acte de mariage. Il en est de même pour Honoré Laurent CASTILLON en 1756 et son fils François, né le 24 mars 1762.

La tradition de l'instruction est assise dans la famille. Ses repré­sentants sont au nombre des citoyens actifs de la Révolution. De 1790 à 1826, François demeurant rue du Puits est le chef de la famille. Il est le curateur de son frère cadet, Joseph en 1815.. Au recensement de 1815, François de la rue du Puits, 55 ans propriétaire, abrite six personnes sous son toit, dont quatre enfants et une servante. Cinq personnes vivent dans la maison de Joseph, rue du Four. Les deux branches de la famille sont suffisamment considérées dans le pays pour que François, exerçant la profession de négociant, soit secrétaire greffier de la commune en 1790. Agent national en juillet 1794, il ordonne des patrouilles de la Garde Nationale afin de protéger les récoltes contre les maraudeurs. Il sera maire provisoire en 1822.

En 1800, son frère Joseph est commis d'office dans le rôle peu enviable de receveur communal de l'impôt, François rend un autre service à la commune. Les lois sur l'instruction publique ordonnant la nomination d'un instituteur dans chaque commune ou groupe de communes.

Au cours de la délibération municipale du 1er octobre 1794 (10 ven­démiaire an III), il est décidé que François CASTILLON remplira cette fonction. Il prête le serment de dévouement à la République demandé à tout fonctionnaire municipal. Ses gages seront débattus ultérieurement. Cette décision confirme le fait que l'enseignement primaire n'a jamais été négligé dans la commune.

Au 12 juin 1792, le budget municipal donne la liste de ses fonctionnaires. Le chirurgien soignant les pauvres reçoit 30 livres, autant que l'enterre morts.

Le greffier municipal 80 livres, le valet de ville 150 livres à égalité avec le maître d'école.

Aucun autre document ne nous renseigne sur la situation scolaire de la commune.

Nous ne savons rien sur les examens subis par François devant les jurys d'instruction institués à Grasse au temps de la République, du Consulat et de l'Empire, chargés de vérifier la moralité et le savoir des instituteurs improvisés de la période révolutionnaire.

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 « Saint-Laurent-du-Var à travers l’Histoire » ou quand le présent rejoint  en images l'Histoire de Saint-Laurent-du-Var et sa fière devise: "DIGOU LI , QUÉ VENGOUN", (DIS LEUR QU'ILS VIENNENT), significative des « riches heures » de son passé.

Avant 1860, Saint-Laurent-du-Var était la première bourgade de France en Provence, carrefour historique avec le Comté de Nice. Ville construite entre mer et collines, elle s'étire face à Nice le long de la rive droite du Var, sur 7 kms.

Cité moderne, Saint-Laurent-du-Var n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le « Vieux-Village », avec ses rues pittoresques et son église romane datant du XI e siècle.

Lieu de transit et de passage commandant la traversée du Var, fleuve alpin particulière­ment capricieux, Saint-Laurent-du-Var a subi les aléas de cette situation géographique et stratégique singulière qui a profondément marqué son destin.

Les inondations, les invasions, les épidémies, les guerres ont rythmé au long des siècles les étapes successives de la formation de Saint-Laurent-du-Var.

Grâce à de nouveaux documents et à de nombreuses illustrations inédites, Edmond Rossi, auteur de « Saint Laurent, Porte de France » et de différents ouvrages sur le passé de la région, nous entraîne à la découverte de l’Histoire passionnante de Saint-Laurent-du-Var.

 

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10:52 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire

15/01/2009

SOUVENIRS DE LA GUERRE 1939-1945 (3)

CARTES POSTALES ANCIENNES (4).jpg

TÉMOIGNAGE DE MONSIEUR HONORÉ HEBERT

 

Monsieur Honoré HEBERT appartient à l'une des plus anciennes familles de St-Laurent-du-Var et son père fut le 1er adjoint de Monsieur RAVET, maire et grande figure de la résistance pen­dant l'occupation italienne d'abord, allemande ensuite.

A cette époque, Honoré HEBERT, qui, plus tard, devait présider le tribunal de commerce d'Antibes, où son père avait été Prési­dent de chambre, exerçait le métier de transporteur. Pendant toute la période qui nous intéresse, il eut ainsi la possibilité de se dé­placer avec son gazogène dans toute la région, sans trop éveiller l'attention. Cela devait s'avérer fort utile.

M. HEBERT n'a pas à chercher bien longtemps dans sa mémoire pour évoquer ses souvenirs et c'est avec une grande précision qu'il nous relate ce qu'il appelle modestement plusieurs anecdotes : "Sous l'occupation italienne, dit-il, au cours du printemps ou de l'été 1943, une sentinelle en faction sur le pont du Var- il y en avait une à chacune des extrémités - fut tuée dans des conditions restées mystérieuses au point qu'aucun coupable ne fut jamais découvert". Mais, sur dénonciation d'un individu qui était alors le propriétaire de l'actuel Bar Victoria, huit laurentins furent in­quiétés : M. RAVET, M. FAYCES, M. Louis CLERICY, M. BELLISSIME, M. HONORAT, M. DECHARME, M. Paul HE­BERT, oncle d'Honoré HEBERT et ce dernier. Arrêtés par des bersaglieri, soit sur les lieux de leur travail, soit à leur domicile, soit dans la rue, ils furent conduits sous escorte, en camion bâ­ché, jusqu'à une villa du Cros de cagnes où les Italiens avaient leur poste de commandement." Là, un capitaine nous déclara que nous avions été convoqués en tant que personnalités, c'est les termes qu'il employa, à la suite du meurtre de la sentinelle et, aussi, d'une distribution de tracts, émanant du parti communiste, à la Baronne". M. RAVET lui a rétorqué que, puisqu'il s'expri­mait en français, le mot qui convenait était "arrêtés " et non pas "convoqués". Ensuite, qu'en tant que Maire de St-Laurent-du-Var, c'est à lui qu'il appartenait d'en désigner les personnalités.

Puis il demanda au capitaine quelle preuve il avait de la culpabi­lité d'un des 4800 habitants de St-Laurent-du-Var plutôt que d'un des 150 000 niçois.

Et il est exact, se rappelle M. HEBERT, que chaque matin, dès 5 heures pour éviter les contrôles, de nombreux niçois arrivaient à St-Laurent par le 1er train ou à vélo, pour acheter des fruits et des légumes avant de se rendre à leur travail. A la suite de quoi, les huit hommes furent relâchés. "C'est alors que M. RAVET me char­gea, poursuit M. HEBERT, de faire valoir à l'officier italien que puisque l'on nous avait amenés jusqu'ici contre notre gré, il con­venait de nous faire reconduire à St-Laurent, ce qui fut fait. " Mais notre interlocuteur se rappelle, encore aujourd'hui, son ap­préhension en formulant la requête du Maire.

L'occupation allemande fut loin d'être aussi courtoise (comme on pouvait s’y attendre, c'est ce qui ressort de tous les témoignages recueillis). Entre l'entrée des troupes du Reich en zone dite non occupée - c'est à dire après le débarquement allié en AFN (8 novembre 42) - et sa libération, le 27 août 44, la ville de St-Laurent-du-Var devait subir 23 bombardements. Il s'agissait de raids de l'aviation amé­ricaine ou, quelquefois, dans les derniers temps, de la RAF. Ces raids qui, malheureusement, n'avaient pas toujours la précision souhaitée, étaient justifiés par la volonté de nos alliés de détruire le pont routier et le pont ferroviaire qui franchissaient parallèle­ment le Var près de son embouchure et étaient indispensables au ravitaillement puis, ultérieurement, au repli des troupes alleman­des.

M. HEBERT se rappelle qu'il existait aussi, à la hauteur de l'ac­tuel " Cap 3000 ", un autre pont routier qui avait été spécialement construit à l'occasion d'un congrès eucharistique et qui, bien qu'en­dommagé par les bombardements, ne disparut qu'après la libéra­tion, au moment des travaux du terrain d'aviation. M. HEBERT précise: " tous ces bombardements avaient, en général, lieu de jour, aux environs de midi. Les ponts furent souvent touchés, mais le raid le plus meurtrier fut celui du 26 mai 44. Ce jour-là, au déclenchement de l'alerte, un train venant de Cannes s'était im­mobilisé à la hauteur des Vespins (actuellement Avenue Pierre SAUVAIGO.). La fin de l'alerte ayant été annoncée prématurément, le train se remit en marche. Or, une nouvelle alerte fut immédiatement déclenchée et le train n'eut pas le temps de s'éloigner du pont sur le Var. Déjà les premières bom­bes tombaient. Ce fut terrible et il y eut de nombreuses victimes (parmi lesquelles le père de M. Pierre SAUVAIGO, futur député ­maire de Cagnes-Sur-Mer (voir à ce sujet le témoignage à venir de M. Marcel PEREZ.), auxquelles la Municipalité rend hommage, chaque année, le 26 mai, au monument élevé en leur honneur, place Castillon, dans le Vieux- Village".

M. HEBERT se rappelle fort bien cette journée car, très souvent, il se rendait, avec M. RAVET, aussi rapidement que leurs vélos le permettaient, dans le quartier atteint par les bombes. Ce fut le cas ce 26 mai 44.

Une autre fois, le Maire lui demanda de le conduire, en camion­nette, jusqu'à un bar qui existe toujours, face au passage à niveau, côté sud de la gare. Il y avait rendez-vous avec un Major alle­mand pour y traiter de divers problèmes intéressant la commune et voulut que M. HEBERT assiste à l'entretien. Naturellement, ce dernier n'a plus tous les détails en tête, mais il se rappelle parfai­tement qu'à un moment donné, l'officier exprima le souhait de voir le drapeau allemand hissé sur la façade de la mairie. M. RAVET lui répondit par la négative, en fondant son refus sur des motifs d'ordre juridico-administratif.

Ses arguments furent convaincants puisqu'à la fin de l'entretien l'officier fit ouvrir une bouteille de champagne. Sur quoi, pour ne pas être en reste, le Maire en commanda également une. Quelques instants après, au moment où les deux français pre­naient congé, l'Allemand,  se méprenant sur ce geste de simple ré­ciprocité (inutile de dire qu'il ignorait le rôle important joué par le Maire dans la résistance ), lui tendit la main avec ces mots: " Monsieur le Maire, je suis heureux de voir que nous nous quit­tons en amis" et M. RAVET de répondre: " Mon commandant, je vous salue en ennemi loyal". Ce sont des paroles que le jeune homme de 22 ans qu'était M. HEBERT n'oubliera jamais.

Son admiration pour le Maire aurait donc suffi, à elle seule, pour qu'il le "suive" en toutes circonstances.

A notre demande, il nous apporte son témoignage à propos d'un fait marquant dans l'histoire de la résistance locale: " un jour, M. RAVET me demanda de me placer sous les ordres de Georges FOATA et, aussi, de mettre ma camionnette à sa disposition. Il s'agissait vrai­ment d'une mission importante puisque nous devions ,MM FOATA, CAGNOL, Edouard GUIDO, Alain BRUSCHETTI, Walter LOCCHI et moi-même, prendre livraison d'environ 2,5 tonne d'ar­mes et de munitions qui, pour la 1 ère fois, avaient été parachu­tées au-dessus de la région de Callian, dans le Var. Ces armes, destinées au maquis, nous devions les transporter en lieu sûr, quelque part entre Gattières et Carros. René MAURE, aujourd'hui décédé, chef de la gendarmerie à St-Laurent-du-Var, M. BRlCCHI et Vincent PALAZETTI étaient chargés de la surveillance de la route. Nous nous étions transformés en ouvriers censés rejoindre un chantier de construction. Afin de mettre le maximum d'atouts de notre côté, MAURE n'avait pas hésité à nous confier, pour la durée de la mission, en cas de nécessité, toutes les armes de la brigade. Comme on dit, c'était gonflé de sa part ! Grâce au ciel, nous n'avons pas eu à en faire usage, bien que notre déplacement ne soit pas tout à fait passé inaperçu". M. HEBERT se rappelle, en effet, que dans la traversée de Grasse, un allemand avait vu arriver, d'un balcon, le gazogène forcément poussif et l'avait un moment suivi du regard. Ce moment parut bien long à M. HE­BERT et à ses compagnons mais rien de fâcheux ne se produisit. Seulement, au retour, une fois le précieux chargement dissimulé sous une simple bâche, M. HEBERT qui, du fait de son métier, connaissait parfaitement toutes les routes du département, suivit un itinéraire différent de celui emprunté à l'aller... des fois que l'Allemand serait resté à son "poste d'observation", M. HE­BERT n'en dira pas davantage mais, comme tous les laurentins de l'époque le savent bien, ces armes, sorties de leur cachette au bon moment, permirent à la résistance locale et régionale de prendre une part prépondérante dans la libération de leur ville et du dé­partement des Alpes-Maritimes.

 

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Cité moderne, Saint-Laurent-du-Var n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le « Vieux-Village », avec ses rues pittoresques et son église romane datant du XI e siècle.

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08/01/2009

SAINT LAURENT DU VAR POSSEDE UNE ÉGLISE ROMANE REMARQUABLE

47 CLOCHER DE SAINT LAURENT, POUR 4 éme de couverture.jpgAu XIe siècle apparaît le premier art roman qui place la Provence dans un vaste courant qui s'étend de la Lom­bardie à la Catalogne il se reconnaît à l'appareil des murs, faits de pierres éclatées au pic et posées à plat en assises régu­lières. Cette maçonnerie rustique et simple est décorée de bandes lombardes. Les absides et les murs latéraux sont rythmés par de minces pilastres plats, les lésènes, réunis à leur sommet par une série de petits arcs. Sur certains édifices, plus tardifs, ces bandes lombardes sont accompagnées de frises en dents d'engrenage. Quelques absides plus importantes, sont couronnées d'une rangée de niches qui favorisent les jeux d'ombre et de lumière. Les claveaux, plus épais à la clef, s'amincissent et se raccourcissent aux extrémités pour dessiner un arc en forme de crois­sant, l'arc lombard.

La Provence est longtemps restée fidèle à l'architec­ture romane. Il faut attendre le XIIe siècle pour que soient acceptées les influences de l'architecture gothique venue du Nord.

Saint Laurent du Var peut s’enorgueillir de posséder un petit bijou de l’art roman lombard, son église du XI siècle qui en présente toutes les caractéristiques. A découvrir absolument.

 

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