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18/02/2010

L'ANTIQUE VOIE HÉRACLÉENNE

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L’ANTIQUE VOIE HÉRACLÉENNE

Sur les sites repérés par les marins rhodiens au VIIe siècle avant J.C., vers -600, des navigateurs phocéens, en quête d’escales et de points d’eau, fondent les premiers comptoirs grecs sur la Côte. Ces prospecteurs s’installent, importent des marchandises, en fabriquent d’autres sur place (poteries). Les habitants indigènes, les Ligures, vivent déjà là depuis des siècles.

Ils possèdent un port actif à Aegitna (l’actuel Vaugrenier). Les Celtes (Gaulois) arrivent vers -500, -400, se mêlant aux Ligures. Les Ligures de la région d’Antibes, Cagnes, Saint Laurent composent une vaste tribu : les Oxybiens.

Bruns, de petite taille, agiles, vêtus sommairement de peaux de bêtes, ils possèdent une langue et une écriture et vénèrent des dieux protecteurs de la nature. Leurs ancêtres effectuaient des pèlerinages au Mont Bégo où ils traçaient des ex-voto sur les rochers. Ce sont des chasseurs, des agriculteurs éleveurs de bétail (bovidés), des pêcheurs. Ils colportent à travers l’Europe l’étain nécessaire aux outils et armes de bronze, ainsi que le sel. Commerçants actifs, ils circulent sur la Côte et dans la montagne, troquant les produits agricoles tirés de la vigne et de l’olivier, ainsi que leurs conserves de poisson salé et les peaux de bête qu’ils tannent.

Bâtisseurs de constructions en murs de pierres sèches couronnant les collines : « les Castellaras », ils s’y réfugient en cas d’attaque. Intrépides et robustes, les Ligures s’engageront souvent dans les armées carthaginoises, puis romaines en qualité de mercenaires.

Les Oxybiens voient s’établir vers -350 des Phocéens, originaires de Grèce, venus de Marseille pour fonder Antipolis (Antibes) et Nikaïa (Nice).

Ces mêmes Ligures aideront Hannibal en -217 à franchir les Alpes avec son armada d’éléphants, pour aller combattre les armées romaines. Lorsque Hasdrubal poursuivra la lutte en -207, 8.000 Ligures lui prêteront main forte.

Après les guerres puniques, vainqueurs, les Romains occupent une partie de l’Espagne, c’est alors qu’ils souhaitent s’assurer un passage terrestre vers leurs nouvelles possessions par la Gaule méridionale.

Une voie existait longeant la Côte : « Voie héracléenne », tracée selon la légende par Hercule que ne rebutaient pas les rudes travaux («La voie héracléenne», d'Héraclès, Hercule étant la forme latine du grec Héraclès). Chemin abrupt bordé de constructions à murs cyclopéens, cette voie n’était qu’un sentier peu sûr jusqu’à Jules César, à cause du brigandage des Ligures. Il faudra attendre Octave Auguste pour voir s’édifier la première voie romaine : la voie julienne.

La voie héracléenne traversait le Var à gué et suivait la base des collines.

Marquant l’empreinte grecque des premiers visiteurs phocéens, la légende précise que pour aller s'emparer des bœufs de Géryon, le dixième de ses douze travaux, Hercule se devait de tracer un chemin à sa taille, d'Italie à cette Ibérie où était le repère du géant tricéphale.

Hercule, traversant ces «Alpes Maritimes» où il peina, se les appropria en les qualifiant «d'Alpes grecques» (selon Ammien Marcellin). Prévoyant sa victoire et un triomphal retour en poussant devant lui le troupeau des bêtes conquises, Hercule ne ménagea en ces lieux ni son temps ni sa peine. Ainsi édifia-t-il tout au long de la voie de crête longeant le littoral, des enceintes de murs cyclopéens propres à l'abriter lui et ses compagnons. Ces remparts lointains rappellent en effet ceux d'Argos, Mycènes et Tirynthe, but suprême de son voyage après son retour en Grèce. Seule sa force surhumaine pouvait être capable d'édifier de telles murailles. L'une de ces enceintes, bâtie sur un rocher abritant une anse, retint pour un temps Hercule, qui trouvant le lieu à son goût, s'y arrêta, s'y isola, oubliant la suite de ses aventures. Lieux de paix et de retraite, comme le laisse entendre l'étymologie du nom de ce lieu: Monoikos.

 L'anse s'appellera en souvenir du demi-dieu: Herculis Monocci Portus, plus tard Monaco et encore sous la Révolution française: Port Hercule. Comme l'écrivait déjà au IV ème siècle l 'historien romain Ammien Marcellin dans une de ses digressions géographiques inspirée des auteurs grecs: «La citadelle et le port de Monaco sont encore d'éternels monuments du passage d'Hercule dans ces contrées».

En -154, les Ligures, concurrencés dans leurs activités commerciales, assiègent les comptoirs massaliotes de Nikaïa et Antipolis. Les Phocéens, alarmés, réclament l’aide des Romains. Un parlementaire romain, Flaminius, est dépêché sur les lieux , il est refoulé et malmené par les Ligures, lors de son débarquement. De retour à Rome, Flaminius entraîne le Sénat, trop heureux d’une pareille aubaine. Le consul Opimius à la tête de 10.000 Romains va venger l’affront et permettre la main mise sur la Côte. Dans la plaine de la Brague, le contingent romain défait les 4.000 Ligures Oxybiens et Décéates.

Après ce revers, le port d’Aegitna est détruit. Les vaincus devront livrer des otages et abandonner à Rome une bande côtière de douze stades (2.340 m). La mer et les riches terres en bordure leur seront interdites. Les Ligures ne gêneront plus les Phocéens.

Nouveau soulèvement ligure en Provence en -125. Les turbulents Oxybiens vont être déportés dans le sauvage Estérel par le Consul Fluvus Flaccus. L’année suivante, pour protéger Marseille, le Consul Calvinus attaque les Salyens (Celto-Ligures) et détruit leur ville fortifiée d’Entremont près d’Aix.

Il faudra attendre -49 pour que Lépide soumette enfin les Ligures Oxybiens (les plus célèbres Ligures selon Pline). Pour marquer cette victoire décisive, Lépide fait édifier le Trophée d’Antibes.

Cette même année, Jules César, de retour d’Espagne, licencie au bord du Var les légions pompéiennes qui constitueront le premier peuplement romain. Saint Laurent du Var va entrer dans l’ère de la colonisation romaine pendant quatre siècles.

 

 

D’après le livre« Un Peu d’Histoire de Saint Laurent du Var » (Editions Sutton) pour commander cet ouvrage illustré et dédicacé de 22 € : téléphoner au 04 93 24 86 55

Un Peu d’Histoire… évoque quelques moments du passé tumultueux de Saint Laurent du Var. De l’Antiquité à nos jours ces 70 chroniques illustrées permettent un survol varié propre à éclairer l’histoire de la région bien au-delà de celle d’un simple village provençal placé à l’embouchure du Var.

Avant 1860, Saint-Laurent-du-Var était la première bourgade de France en Provence, carrefour historique avec le comté de Nice.

Aujourd’hui ville construite entre mer et collines, elle s'étire face à Nice le long de la rive droite du Var. Cité moderne, elle n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le Vieux-Village, avec ses rues pittoresques et son église romane.

Grâce à ces chroniques, Edmond Rossi nous entraîne à la découverte de l’Histoire passionnante de Saint-Laurent-du-Var.

Edmond Rossi est depuis son plus jeune âge passionné par l’histoire du Pays d’Azur.

Auteur de nombreux ouvrages, il présente régulièrement des chroniques historiques dans le quotidien Nice Matin et sur les ondes Radio France Bleu Azur.

 

Connaître le passé de la région des Alpes Maritimes ?

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17:30 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire

09/02/2010

"UN PEU D'HISTOIRE DE SAINT LAURENT DU VAR", A L'ORIGINE LE VAR

1 LE VAR EN CRUE.jpg

 

AVANT PROPOS D’UN PEU D’HISTOIRE DE SAINT LAURENT DU VAR

« Un Peu d’Histoire » titre d’une chronique régulière évoque quelques moments du riche passé de Saint Laurent.

De l’Antiquité à nos jours ces relations permettent un survol varié propre à éclairer l’Histoire de la région bien au-delà de celle d’une simple bourgade provençale placée à l’embouchure du Var.

Le fleuve Var a constitué de tout temps une frontière naturelle qui s'opposa à la pénétration humaine. Les premiers vestiges mégalithiques, témoins d'une civilisation où l'homme apprenait l'agriculture, voici quelques 5000 ans, se regroupent à l'ouest du Var.

De même, lorsque les spécialistes de la protohistoire recensent les tombes à incinération de la fin de l'âge du Bronze, ils constatent qu'elles sont limitées à la rive droite du fleuve.

Qu'il s'agisse des curieuses bories, ces sortes d'igloos en pierre, ou des traces d'influence celte, comme les décorations en forme de têtes sculptées, là encore tout s'arrête sur les bords du Var.

Plus tard, lorsque l'homme commencera à écrire son histoire, la limite de la Transalpine et de la Cisalpine sera fixée au « Varum flumen ».

L 'Empire romain arrêtera l'Italie sur le bord du fleuve, la Narbonnaise débutant au-delà.

Au Moyen-Age, la Provence se séparera du Comté de Nice, un demi-millénaire entrecoupé de courts changements, imposera la frontière du Var.

Saint Laurent, carrefour placé sur la côte à l'embouchure du fleuve, va jouer des siècles durant un rôle capital qui s'impose à la mémoire des hommes.

Ce survol historique n'a aucune prétention exhaustive, il s'agit d'une série de clichés pris à des époques successives, reliés par une toile de fond: Saint Laurent du Var et son site.

«Un Peu d’Histoire» où le présent rejoint en images l'Histoire de Saint Laurent du Var et sa fière devise: "Digou li , qué vengoun", (Dis leur qu'ils viennent), significative des « riches heures » de son passé.

Avant 1860, Saint Laurent du Var était la première bourgade de France en Provence, carrefour historique avec le Comté de Nice. Ville construite entre mer et collines, elle s'étire face à Nice le long de la rive droite du Var, sur 7 k.

Cité moderne, Saint Laurent du Var n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le « Vieux-Village », avec ses rues pittoresques et son église romane datant du XI e siècle.

Lieu de transit et de passage commandant la traversée du Var, fleuve alpin particulièrement capricieux, Saint Laurent du Var a subi les aléas de cette situation géographique et stratégique singulière qui a profondément marqué son destin.

Les inondations, les invasions, les épidémies, les guerres ont rythmé au long des siècles les étapes successives de la formation de Saint Laurent du Var.

 

SAINT LAURENT CARREFOUR GÉOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE :

A L’ORIGINE, LE VAR

L’Histoire de Saint Laurent du Var se développe au cours du temps sous des influences venues d’horizons différents :

- Du Sud et de la mer dans l’Antiquité,

- De l’Est avec Rome,

- Du Nord au Moyen-Age,

- De l’Ouest, de la Révolution française à nos jours.

Avant que ne s’écrive l’Histoire, lorsque voici 400.000 ans les premiers hommes apparaissaient dans la région, le Var drainait alors cent fois plus d’eau.

S’il est question de pilotis découverts à la fin du siècle passé, enfouis dans le sous-sol vaseux du delta, pouvant servir d’assise à des cabanes lacustres, nous n’avons aucune preuve d’une occupation du site à la Préhistoire.

Les seuls vestiges mis au jour à proximité sont ceux de Carros le neuf : il s’agit de fragments de pierres taillées voici quelques 100.000 ans (début du Würm).

Beaucoup plus tard, le géographe grec Strabon indiquera que le Var avait en hiver la largeur de sept stades à son embouchure, soit 1.295 m

Notons que le premier pont construit en amont sur le Var à la Révolution française n’aura qu’une largeur  de 654 m. Aujourd’hui, après son endiguement, la 6202   franchit le fleuve au quartier de la Baronne, par à un ouvrage de seulement 450 m !

Saint Laurent du Var est un carrefour géographique et historique en rapport constant avec le fleuve le plus important des Alpes-Maritimes. Le Var, cité déjà par César, sera qualifié de « grand fou » par Vauban qui ne lui pardonnait pas ses crues soudaines et brutales multipliant son débit par dix en quelques heures.

 

 

D’après le livre« Un Peu d’Histoire de Saint Laurent du Var » (Editions Sutton) pour commander cet ouvrage illustré et dédicacé de 22 € : téléphoner au 04 93 24 86 55

Un Peu d’Histoire… évoque quelques moments du passé tumultueux de Saint Laurent du Var. De l’Antiquité à nos jours ces 70 chroniques illustrées permettent un survol varié propre à éclairer l’histoire de la région bien au-delà de celle d’un simple village provençal placé à l’embouchure du Var.

Avant 1860, Saint-Laurent-du-Var était la première bourgade de France en Provence, carrefour historique avec le comté de Nice.

Aujourd’hui ville construite entre mer et collines, elle s'étire face à Nice le long de la rive droite du Var. Cité moderne, elle n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le Vieux-Village, avec ses rues pittoresques et son église romane.

Grâce à ces chroniques, Edmond Rossi nous entraîne à la découverte de l’Histoire passionnante de Saint-Laurent-du-Var.

Edmond Rossi est depuis son plus jeune âge passionné par l’histoire du Pays d’Azur.

Auteur de nombreux ouvrages, il présente régulièrement des chroniques historiques dans le quotidien Nice Matin et sur les ondes Radio France Bleu Azur.

 

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17:26 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire

17/01/2010

PRÉFACE DE "UN PEU D'HISTOIRE DE SAINT LAURENT DU VAR" PAR RENÉ RAMELLA PATRON DU BAR RESTAURANT LE "VICTORIA"

LE RESTAURANT VICTORIA AVENUE DU G. LECLERC EN 1906.jpg

Flatté de pouvoir présenter le nouveau livre d'Edmond Rossi, célèbre historien de Saint-Laurent du-Var qui oeuvre pour la reconnaissance et la promotion de notre patrimoine local, je le remercie avant tout pour sa constance dans l'intérêt porté à la mémoire et au passé de notre terroir.

Ecrivain et créateur de la récente fête des gueyeurs, Edmond Rossi nous offre là un ensemble passionnant et varié de chroniques historiques illustrées, publiées dans la presse avec, comme toile de fond, Saint-Laurent-du-Var à travers les âges. Cet ouvrage d'une lecture facile s'adresse à tous ceux qui souhaitent mieux connaître notre ville nantie d'un riche passé souvent ignoré.

J'ai tenu à lui apporter mon concours en tant que laurentin de naissance et président fondateur du Comité de sauvegarde du Vieux Village.

Il vous expliquera avec précision l'évolution de Saint-Laurent avant la seconde guerre mondiale. Pour ma part, je ne vous parlerai que de la période suivant l'arrivée de mes parents en France en 1932. Né au quartier du Vallonet, j'ai vécu la douloureuse période de la seconde guerre mondiale. Je me souviens qu'à chacun des 23 bombardements qui frappèrent la commune, dès que retentissaient les sirènes, nous allions nous mettre à l'abri dans une grotte sous l'actuel cimetière Saint-Marc.

la ville de Saint-Laurent a été démolie à 70 % et reconstruite avec l'aide de la ville de Djibouti.

En 1943, nous nous sommes réfugiés à Saint-Jeannet durant un an, puis nous sommes revenus au Vieux Village de Saint-Laurent, rue Desjobert où ma mère exploitait une mercerie alors que mon père labourait la terre en équipe; nous n'avons pas trop souffert de la faim.

En août 1944, mes parents, en charrette, et de nombreux laurentins, à pied, en voiture ou en car, partirent en pèlerinage sur le chemin du sanctuaire de Notre-Dame-de-Laghet pour lui rendre grâce.

En 1945, mes parents prirent en gérance la Bonne Cave. Tous les samedi et dimanche, nous chantions et dansions, toutes les occasions se fêtaient. Dans le même esprit, ils tenaient également la buvette à chaque bal du Vieux Village, place du Babazouk ou de l'Eglise.

Personnellement, scolarisé à Saint-Laurent, mes études secondaires furent brutalement interrompues à la suite d'un terrible accident qui causa la perte de ma jambe droite.

Durant les quarante ans de vie professionnelle qui suivirent, j'exploitai en gérance avec mon épouse l'hôtel bar restaurant le Victoria au cœur de Saint-Laurent, étant par-là même mêlé à la vie du bourg. Mon intérêt pour la chose publique m'entraîna durant plus de trente-trois ans, comme bénévole, dans la vie associative de la cité aussi bien au comité des fêtes qu'à la création de la Mini-boule laurentine puis du Comité de sauvegarde du Vieux Village. Avec des équipes soudées, nous avons animé une trentaine d'associations qui ont marqué l'évolution tant sportive que festive et culturelle de la commune.

Je remercie Edmond Rossi de m'avoir donné la possibilité d'exprimer ces témoignages à travers son ouvrage.

 

Ma devise inspirée par ma modeste existence peut servir de ligne de conduite à chacun :

 

« Fais du bien: oublie,

 

Fais du mal: souviens-toi »

 

René Ramella Président fondateur du Comité de sauvegarde du Vieux Village de Saint Laurent du Var

 

 

 

D’après le livre« Un Peu d’Histoire de Saint Laurent du Var » (Editions Sutton) pour commander cet ouvrage illustré et dédicacé de 22 € : téléphoner au 04 93 24 86 55

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Avant 1860, Saint-Laurent-du-Var était la première bourgade de France en Provence, carrefour historique avec le comté de Nice.

Aujourd’hui ville construite entre mer et collines, elle s'étire face à Nice le long de la rive droite du Var. Cité moderne, elle n'en oublie pas pour autant ses racines qui font la fierté de ses habitants. Le témoignage le plus probant de cette pérennité du passé reste sans aucun doute le Vieux-Village, avec ses rues pittoresques et son église romane.

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